Descriptif
Titre : Super Mario Sunshine
Genre : Plates-formes 3D
Développeur : Nintendo EAD
Editeur : Nintendo
Plateforme : Gamecube et Switch
Date de sortie : Juillet 2002
Synopsis
Dans ce jeu Nintendo nous incarnons le célèbre Mario sur l’île paradisiaque de Delphino. Accompagné de la Princesse Peach et Papy Champi pour ce qui devait être de simples vacances paisibles, Mario est encore une fois confronté à Bowser et Bowser Jr. En effet, une fois sur place le trio découvre une île polluée et salie par des graffitis. À cause de cette pollution, les soleils de l’île ont complètement disparu, ce qui la plonge dans l’ombre.
Mario est alors arrêté directement à sa sortie de l’avion, un délinquant a pris son apparence et saccagé l’île en peignant des graffitis un peu partout. Mario est jugé et reconnu coupable. Il est alors condamné à faire des travaux d’intérêts généraux et à rétablir la tranquillité sur l’île sous peine de ne jamais en repartir. Pour la nettoyer, Mario est aidé par J.E.T., un canon à eau en forme de sac à dos. Là débute nos jeux de plateforme pour délivrer tous les soleils.
Mais n’oublions pas notre Princesse Peach, elle est enlevée par un mystérieux individu qui se fait appeler « Antimario » qui est armé d’un pinceau (coïncidence ?) et évidemment notre Héros Mario doit sauver sa bien-aimée.
Il suit Antimario jusque sur l’île Pinna où est construit un parc d’attractions. Là, Mario doit faire face à un gigantesque robot en forme de Bowser. Après le combat, Antimario révèle sa véritable identité : il s’agit en fait de Bowser Jr., le fils de Bowser.
Nous pouvons aussi retrouver notre très cher dinosaure vert : Yoshi.
Mes +
Ce que j’ai le plus apprécié dans ce jeu c’est le nouvel accessoire de Mario : J.E.T son canon à eau, il est vraiment au cœur des aventures, le seul petit bémol c’est qu’il faut le recharger souvent (heureusement qu’on est sur île).
J’aime beaucoup le fait qu’on reste quand même bien dans l’univers des Mario avec quelques clins d’œil par-ci par-là : cette fois-ci presque pas de tuyau vert pour s’enfouir dans les égouts mais une plaque au sol qui se retrouve lorsqu’on saute dessus. D’ailleurs il y a une petiote mélodie une fois à l’intérieur qui se faufile dans votre tête et reste des années ! (Vous pouvez même y rajouter des paroles : champipi, changnongnon, champipi, changnongnon, si si je vous jure).
Il y a plusieurs niveaux de plateforme qui se débloquent au fur et à mesure que l’on avance dans le jeu et même des niveaux secrets 🤫 quand vous savez où ils se trouvent et certains niveaux comportent des mini-jeux ! J’espère que vous avez la surf Attitude (PS les calamars vont tous à la même vitesse).
Mes –
Ce que j’ai le moins apprécié dans ce jeu c’est que les niveaux sont très répétitifs. En particulier les niveaux du bateau de Port Rico, le début de la plateforme se trouve au début du bateau, vous devez le traverser et vous agripper à des cages en ferraille, vous êtes attaqué par des bloops et parfois vous battre contre des méga bloops.
Ce que je trouve un peu dommage aussi c’est le fait que ce soit un jeu solo, alors qu’il a clairement le potentiel d’être un jeu à deux joueurs.
Ah ! Oui ! J’oubliais le plus important… Certains niveaux sont très difficiles, vous êtes bloqués ? Tant pis, prenez votre mal en patience parce qu’aucun autre niveau ne se bloquera si vous n’avez pas passer celui en cours, donc pas d’avancée dans l’histoire… et une éternelle Flora piranha à dégommer.
A savoir en plus : Notons la 1ere apparition de papy champi et Bowser jr.